Le ministre Manuel Valls a également pr
écisé que la police française allait pouvoir obtenir très facilement des données personnelles, « sur simple réquisition, pour les affaires (..) d'une particulière gravité, qualifiées de serious crime » et a ajouté que le réseau social avait accepté de collaborer
activement avec les autorités françaises en matière de surveillance : « Twitter s'engage à procéder au gel des données d'enquête sur simple courriel, sans aviser les utilisateurs si les enquêteurs demandent expressément à ce que ces mesur
...[+++]es restent confidentielles».