Per saldo zijn tijdens de recente conjunctuurvertraging geen jobs verloren gegaan, terwijl gedurende de recessie in de jaren 1992-1993 meer dan 2,5 miljoen arbeidsplaatsen werden vernietigd.
Le bilan des suppressions d'emplois est lui aussi plus encourageant: aucune suppression nette d'emploi n'est à déplorer pour la dernière phase de ralentissement, alors que plus de 2,5 millions d'emplois avaient disparu lors de la récession de 1992-93.