Als we bedenken dat sommige EU-landen in Oost- en Centraal-Europa in 2006 nog steeds grote doorreislanden waren en dat de cijfers over de arrestaties van illegale immigranten aanzienlijk hoger waren aan de vorige Schengen-grenzen van de EU in Oostenrijk en Duitsland dan aan de buitengrenzen van de EU, dan kunnen we ons niet veroorloven om deze zorg te negeren.
Si l'on considère le fait que certains pays de l'UE d'Europe centrale et de l'Est étaient toujours d'importants pays de transit en 2006 et que les chiffres relatifs à l'appréhension d'immigrants illégaux étaient beaucoup plus élevés aux anciennes frontières Schengen de l'UE situées en Autriche et en Allemagne qu'aux frontières extérieures de l'UE, nous ne pouvons nous permettre d'ignorer ce problème.