Probleem daarbij is echter dat, wanneer de Controlecommissie na 4 december 2003 klacht wenste in te dienen (beter ware : aangifte wenste te doen), artikel 14, § 2, zo kan worden geïnterpreteerd dat de procureur des Konings op dat ogenblik de strafvordering niet meer kon instellen omdat hij gebonden was door de vaste termijn van tweehonderd dagen.
Mais le problème qui se pose à cet égard, c'est que, si la Commission de contrôle avait souhaité introduire une plainte après le 4 décembre 2003 (il eût mieux valu écrire: « faire une dénonciation »), l'article 14, § 2, pourrait s'interpréter en ce sens que le procureur du Roi n'était plus fondé, à ce moment-là, à engager l'action publique, dès lors qu'il était tenu par le délai fixe de deux cents jours.