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n écoutant les membres de ce Parlement, on a sans cesse l’impression que les relations entre l’Europe et les États-Unis sont remarquablement tendues, avec une frustration permanente d’une part et un enthousiasme constant d’autre part, et il ne s’agit pas là d’une bonne base pour l’instauration d’une relation. C’est d’un réalisme sain que nous avons besoin. C’est pourquoi je voudrais féliciter la présidence allemande du Conseil pour avoir adopté l’idée du marché transatlantique, que notre Parlement avait exposée dans de nombreuses résolutions, réalisant, au fil des années, un travail important avec les Américains, et aussi, bien sûr, ave
...[+++]c de nombreuses présidences du Conseil et la Commission. Je voudrais remercier tous ceux qui se sont impliqués dans ce travail.