Fundamenteler is dat die bepalingen, in zoverre zij de Koning machtigen om het toepassingsgebied van de wet uit te breiden en zelfs, zoals in artikel 35 lijkt te worden bepaald, het onderwerp ervan te wijzigen, niet aanvaardbaar zijn in het licht van de beginselen die voor de verhoudingen tussen de wetgevende macht en de uitvoerende macht gelden » (zie Kamer, DOC 51 2263/001, blz. 77)» (Parl. St., Kamer 2007-2008, nr. 474/1, 12).
Nous estimo
ns en effet que ces dispositions doivent être la prérogative du pouvoir législatif et nous nous inscrivons ainsi dans le prolongement du point de vue que le Conseil d'Etat a formulé dans son avis sur l'avant-projet de la loi sur les armes : « La section de législation n'aperçoit pas comment les habilitations s'articulent. Plus fondamentalement, ces dispositions, en tant qu'elles permettraient au Roi d'étendre le champ d'application, voire, comme semble envisager l'article 35, d'en modifier l'objet, ne sont pas admissibles au regard des principes qui gouvernent les relations entre le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif' (
...[+++]cfr. Doc. parl., Chambre n° 51-2263/1, p. 76) » (Doc. parl., Chambre, 2007-2008, n° 474/1, p. 12).