Ondanks forse uitlatingen van de minister van Binnenlandse Zaken, werden de repatriëringen opgeschort en kregen de betrokkenen de toezegging dat ze tot 15 juli 2004 in het land zouden mogen blijven als het ging om gezinnen met kinderen, de anderen mochten blijven tot 1 maart 2004.
Ils y ont entamé une grève de la faim après avoir reçu plus de mille notifications du Commissariat général aux réfugiés leur signifiant que leur demande était refusée et leur enjoignant de quitter le territoire. En dépit de déclarations musclées du ministre de l'Intérieur, les rapatriements ont été suspendus et les intéressés ont obtenu une concession: il serait permis aux familles avec enfants de rester dans le pays jusqu'au 15 juillet 2004 ; quant aux autres, ils pourraient rester jusqu'au 1er mars 2004.