Le projet d'arrêté royal précise, à bon droit, que l'utilisation des données du Registre dans les relations externes, c'est-a-dire dans les
relations avec les autres autorités publiques
et organismes qui ont eux-mêmes reçu l'autorisation d'accéder au Registre national et d'
utiliser le numéro, doit s'inscrire, à la fois dans l'exercice des compétences légales et réglementaires des sociétés visées à l'article 1, d'une part, et des autorités et organismes
...[+++], d'autre part.