België zou dus eigenlijk al ingevolge de derde witwasrichtlijn een threshold approach moeten hanteren op basis van de maximum- of minimumgevangenisstraffen.
La Belgique devrait donc en fait déjà recourir à une approche fondée sur les risques en vertu de la troisième directive anti-blanchiment, sur la base des peines d'emprisonnement minimales ou maximales.