Het Hof ging er dus vanuit dat deze wetsbepaling alleen de Franstalige kinderen op basis van de verblijfplaats van hun ouders de toegang versperde tot bestaande onderwijsinstellingen in de gemeenten : volgens het Hof betrof dit een vorm van discriminatie op basis van taal.
Dès lors, la Cour a admis que la loi empêchait donc aux enfants francophones, et à ceux-là seulement, en raison du lieu de résidence de leurs parents, d'accéder à un établissement d'enseignement existant dans ces communes : il s'agit en l'occurrence, selon la Cour, d'une discrimination fondée, notamment, sur la langue.