Si notre pays est à la pointe théoriquement en matière législative sur la protection des femmes y résidant et que notre code pénal réprime spécifiquement les mutilatio
ns génitales depuis 2001, et même s'il reste beaucoup à faire en matière de communication, d'information des professionnels qui entrent en contact avec des victimes ou de fillettes sujettes à
risques d'excision, dans la pratique, les femmes cherchant protection en Belgique, pour ne pas subir cette acte barbare, ont dr
oit à un traitement ...[+++]bien inégalitaire au regard de ceux qui sont mandatés à traiter leur demande de protection.