To implement these proposals on an intergovernmental basis, as Mr Pirker wishes, would not only be a step backwards compared with the Treaty of Amsterdam; it would also show contempt for the need to make immigration and asylum policy a Community instrument and above all it would be a refusal to recognise what is really happening on the ground, which can be seen every day at Sangatte and elsewhere.
L'inscription de ces propositions dans un cadre intergouvernemental, comme le souhaite M. Pirker, est non seulement un recul au regard du traité d'Amsterdam, c'est aussi le mépris de la nécessaire communautarisation de la politique d'immigration et d'asile, c'est aussi et surtout le refus d'une réalité quotidienne, que l'on peut voir tous les jours, à Sangatte ou ailleurs.