I received a letter from the good old refugee board, which I usually end up dealing with, which essentially said this: “Further to your access to information request for the board's decision in Vancouver, British Columbia, on October 27, 1998 regarding Eduardo Montenegro, we want to tell you this: In a telecommunication today between your office and another person, an access to information and privacy officer of the board, the former confirmed that you are neither his representative nor do you have his consent to know what happened”.
La bonne vieille commission, où je finis toujours par aboutir, m'a répondu ceci, en substance: «La présente fait suite à votre demande aux ter
mes de la Loi sur l'accès à l'information relativement à la décision de la commission concernant Eduardo Montenegro prise à Vancouver, en Colombie-Britannique, le 27 octobre 1998. Au cours d'une conversation téléphonique tenue ce matin entre votre bureau et une autre personne, à savoir un agent de la commission ch
argé de l'accès à l'information et de la protection des renseignements personnels,
...[+++]le premier a confirmé que vous n'étiez pas son représentant et que vous n'aviez pas son consentement pour obtenir des informations à cet égard».