Whether we are talking about the CAA in Quebec or any other business in Canada, when taxpayers' money is invested, I do not see why the senior management would go beyond the limits I have proposed, for the simple reason that those are more or less the salaries paid to the people who give these grants — presidents of corporations such as BDC, EDC and other organizations.
Que ce soit CAA-Québec ou d'autres entreprises au Canada, lorsque l'argent des contribuables est investi, je ne vois pas pourquoi la haute direction irait au-delà des normes que j'ai énoncées pour la simple raison que les personnes qui font ces dons, nos présidents de sociétés comme BDC, EDC et compagnie, gagnent à peu près ces salaires.