The content of these budgets, rather than the PM's campaign promises—and rather than his rather vague smile, which leaves one wondering whether or not he has any clue about the realities of Quebeckers or Canadians—and the actions of his government, are what lead us to clearly understand that he is not clued in to other people's realities, that he has never been out of a job.
C'est par le contenu de ces budgets, au-delà des discours électoraux du premier ministre—de son sourire un peu ambigu qui fait qu'on se demande toujours s'il est conscient ou non des réalités des Québécois ou des Canadiens quand on le regarde—, et quand on voit les gestes de son gouvernement que l'on comprend bien qu'il n'est pas dans la réalité des gens et qu'il n'a jamais été chômeur.