Industry supporters made the following additional points: research into fish disease is in its infancy; compared to other countries (e.g., Norway, Japan), the number of government-approved chemotherapeutants in Canada is absurdly limited; this limited number of approved products restricts the ability of fish farmers to treat disease effectively once it occurs; and a broader range of products should be available to prevent and manage disease.
Les partisans de l’aquaculture ont aussi soutenu que la recherche sur les maladies des poissons n’en était qu’à ses premiers pas, que comparativement à d’autres pays (comme la Norvège et le Japon), le nombre d’agents chimiothérapeutiques autorisés par le gouvernement canadien était ridiculement limité, que cette situation empêche les aquaculteurs de combattre la maladie avec efficacité une fois qu’elle s’est déclarée, et qu’il faudrait offrir une plus vaste gamme de produits pour prévenir les maladies ou les traiter.