In addition, the low public development aid is to some extent offset by higher private investment in the DCs and commercial bank loans (about two-thirds of the capital flow), but that only benefits a small number of countries.
À cela s'ajoute que si la diminution de l'aide publique au développement est compensée en partie par une augmentation des investissements privés dans les pays en développement et les crédits des banques commerciales (les deux tiers environ des flux de capitaux), ceux-ci ne profitent qu'à un nombre limité de pays.