If, at the same time, the EU maintains its exorbitant agricultural subsidies, continues to protect its own markets and, to top it all, cuts back on development aid, the result will be a deadly cocktail that hits the poorest first and then all of us.
Si, parallèlement, l’UE maintient ses subventions agricoles exorbitantes, continue de protéger ses propres marchés et, par-dessus tout, réduit l’aide au développement, le résultat sera un cocktail mortel qui frappera les plus pauvres d’abord et puis nous tous.