First nations veterans were understandably angered at being barred from the loan provisions of the VLA and skeptical about the so-called advantages of reserve conditions, particularly as it involved having the Indian affairs branch and their Indian agents directly handling their cases.
On peut comprendre la colère des anciens combattants des premières nations, eux qui se sont vus exclus des disposions de prêt de la Loi sur les terres destinées aux anciens combattants, et leur scepticisme au sujet des supposés avantages liées aux conditions s'appliquant dans les réserves, d'autant plus que cela voulait dire que la Division des affaires indiennes et ses « agents des sauvages » allaient traiter directement de leurs cas.