In particular, commentators have suggested that it is problematic, when the divorce application is not made jointly or on consent, to require an order from a court in a jurisdiction that does not recognize same-sex marriage, particularly if the foreign jurisdiction is hostile to same-sex couples.24 It appears that this particular concern may have been addressed through amendments made by the Committee of the Whole that would allow for this order to be obtained from either the appropriate Canadian court or the appropriate foreign court.
Des observateurs ont notamment laissé entendre qu’il serait problématique, dans les cas où la demande de divorce n’est pas présentée conjointement et n’a pas obtenu le consentement des deux parties, d’exiger une ordonnance d’un tribunal dans un territoire où ne sont pas reconnus les mariages de personnes de même sexe, surtout si l’autorité étrangère est hostile aux couples de même sexe 24. Il semble que le Comité plénier ait tenu compte de cette inquiétude en proposant des amendements qui permettraient d’obtenir cette ordonnance du tribunal canadien ou étranger compétent.