But if we consider the direct effects of these attacks, their immediate impact on consumer and business confidence, and the adjustments needed to address the increased security risks, the Bank of Canada expects output growth in Canada will be close to zero or slightly negative in the second half of 2001, and for the year as a whole that implies a growth rate of about 1.5%.
Étant donné les effets directs des attentats, leurs conséquences immédiates sur la confiance des ménages et des entreprises, et les ajustements nécessaires pour faire face aux risques accrus à la sécurité, la Banque s'attend à ce que la croissance de la production au Canada soit à peu près nulle ou légèrement négative au second semestre de 2001. Pour l'ensemble de l'année, celle-ci devrait ainsi avoisiner 1,5 p. 100.