Its message is doomed to failure. It can only speak the language of the markets, what one French journalist calls eurodosh, not the language of the people, as a result of which the euro is merely a currency of loans which has become the toy of the markets instead of being the business of the Europeans.
Elle ne peut parler que la langue des marchés, ce qu'un journaliste français appelait l'espéranto du fric, et non celle des peuples, ce qui fait que l'euro, qui n'est qu'une monnaie d'emprunt, est devenu le jouet des marchés, au lieu d'être l'affaire des Européens.