But at the end of the day, even when Bill C-54 is law, I still believe, if you have a problem with a bank or with a retailer of some sort, you'll deal, as you do now, with the retailer, with the bank, then go from there perhaps to the Canadian Bankers Association or the Canadian Banking Ombudsmen or to the Canadian Direct Marketing Association—and I notice it will change its name next year to the Canadian Marketing Association—and they will try to solve the problems.
Cependant, même une fois adopté le projet de loi C-54, je continue de croire que si vous avez un problème avec une banque ou avec un détaillant, vous traiterez, comme c'est déjà le cas aujourd'hui, avec le détaillant, avec la banque, puis vous vous adresserez peut-être à l'Association des banquiers canadiens ou à l'ombudsman en matière de banques ou encore à l'Association canadienne du marketing direct—et je constate qu'elle va changer de nom l'an prochain—qui essaieront alors de résoudre le problème.