What is regrettable is that it will have taken eight years in order to realise that the rise in deficits did not come about solely on the basis of the disastrous and completely arbitrary figure of 3% of GDP, but also as a result of ‘relevant factors’: continually weak growth, ageing populations, the consequences of the botched enlargement of the EU or of unfettered globalisation, and so on. It was about time.
Ce qui est regrettable, c’est qu’il aura fallu huit ans pour se rendre compte que l’appréciation des déficits ne se faisait pas sur le seul fondement du chiffre fatidique et parfaitement arbitraire de 3% du PIB, mais aussi en fonction de «facteurs pertinents»: une croissance durablement faible, le vieillissement des populations, les conséquences de l’élargissement bâclé de l’UE ou de la mondialisation sauvage.Il était temps.