As long as our old people have to finance our young people who cannot find work and are increasingly few in number, there will only be two possible roads left open to us: let other, non-European, people drive our growth or surrender ourselves to the flywheel of international finance, which can make our capital productive.
Tant que nos vieilles générations devront assumer la charge financière de nos jeunes générations qui ne trouvent pas de travail et dont le nombre décroît, il n’y aura d’autre choix que de laisser d’autres personnes, non européennes, prendre les rênes de notre croissance, ou nous laisser aller aux spéculations financières internationales qui peuvent rentabiliser nos capitaux.