In two very recent cases, the Supreme Court of Canada echoed the position proposed by the Attorney General of Canada and concluded that when interpreting section 23 of the Canadian Charter of Rights and Freedoms, the Supreme Court and other courts should take into consideration the very different realities experienced by French-speaking minorities outside of Quebec and the English-speaking minority in Quebec.
Dans deux dossiers très récents, la Cour suprême du Canada a adopté les positions avancées par le procureur général du Canada et a conclu que dans son interprétation de l'article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés, la Cour suprême et les tribunaux devaient tenir compte des réalités très différentes des minorités francophones hors Québec et de la minorité anglophone du Québec.