While the detention rate has risen steadily since its introduction in 1986, growing beyond all projections, research conducted by CSC (Grant, 1996) has shown that those who have been detained are less likely to commit criminal offences than those released on full parole or on statutory release.
Même si le taux de détention a augmenté de façon constante depuis qu'on a commencé à le mesurer en 1986 et qu'il dépasse toutes les prévisions, une étude effectuée par le Service correctionnel du Canada (Grant, 1996) révèle que les personnes qui ont été détenues sont moins susceptibles de commettre une infraction criminelle que les personnes qui ont été libérées sur parole ou que celles qui profitent d'une libération d'office.