This is reflected in the 'no action' taken over Zimbabwe and China, where there is extensive use of the death penalty, even for such crimes as corruption, pimping, drug offences and tax fraud, its systematic torture of dissidents and its restrictions on freedom of speech, including the Internet, and religious practice, getting off the hook.
Preuve en est l’inertie démontrée vis-à-vis du Zimbabwe et de la Chine, où la peine de mort est largement pratiquée, même pour des crimes comme la corruption, le proxénétisme, les infractions liées à la drogue et la fraude fiscale, où les dissidents sont torturés de manière systématique et où les libertés d’expression, notamment sur l’internet, et de culte sont restreintes; une inertie qui leur permet d’être tirés d’affaire.