We have been taken to the edge of the abyss by financial disintermediation, the global integration of the European financial sector, the widespread free movement of capital, the securitisation of the globalised economy and the game of a crazy market that creates products that are more and more complex and increasingly out of touch with real economic activity. The nation is the protector and it is the countries’ decisions that count in the current context.
C’est la désintermédiation financière, l’intégration européenne mondiale du secteur financier, la libre circulation généralisée des capitaux, la financiarisation de l’économie mondialisée, le jeu d’un marché fou qui crée des produits toujours plus complexes, toujours plus déconnectés de l’activité économique réelle, qui nous ont menés à l’abîme. C’est la nation qui est protectrice et ce sont les décisions des États qui comptent dans le contexte actuel.