On the heels of public rancour, declining poll numbers, and street demonstrations—between 10,000 and 15,000 people braved the cold weather on January 23, according to media reports—the Prime Minister determined post-prorogation that parliamentarians should forego their planned spring breaks because much work required attention.
Devant la rancœur de la population, la baisse de popularité dans les sondages et les manifestations — selon les médias, entre 10 000 et 15 000 personnes auraient bravé le froid le 23 janvier pour exprimer leur désaccord — provoquées par sa décision, le premier ministre a fait savoir, après la prorogation, que les parlementaires devaient renoncer au congé parlementaire prévu au printemps en raison de la quantité de travail à accomplir.