Mr. Yvan Loubier (Saint-Hyacinthe-Bagot, BQ): Mr. Speaker, when a Quebecer or a Canadian earns a dollar, the whole dollar is taxed, all of it, at a rate that can go as high as, or higher than, 40 per cent. When a rich shareholder, a rich corporation holding shares that appreciate in value year after year, is taxed, it is taxed on only three quarters of the amount at a reduced rate, not the full 100 per cent.
M. Yvan Loubier (Saint-Hyacinthe-Bagot, BQ): Monsieur le Président, quand un Québécois ou u
n Canadien gagne un dollar, ce dollar est taxé totalement, en entier, à un taux qui peut atteindre ou dépasser 40 p. 100. Quand un riche actionnaire ou une riche corporation propriétaire d'actions qui prennent de la valeur année après année, est taxé, on ne taxe que les trois quarts à un taux réduit, plutôt que 100 p. 100. Qu'est-ce qui justifie
que 25 p. 100 de ce gain en capital soit remis de façon tout à fait inefficace, improductive, aux plu
...[+++]s riches détenteurs de capitaux canadiens qui ne réinvestissent pas dans l'économie, alors que l'ensemble des particuliers doivent payer, eux?