16. Considers that international financial institutions, like the IMF and the World Bank Group, should c
onduct a corruption risk assessment in the measures proposed to debtor countries through SAPs, in addition to an assessment of the impact of the latter on human rights; takes the view that SAPs should include reforms to improve governance and transparency; insists that adequate,
well-resourced and independent systems of oversight should follow the implementation of the programmes, carrying out frequent audits and inspections; add
...[+++]s that particular attention should be paid to land-grabbing, forced evictions, defence procurement, separate defence budgets and the financing of military and paramilitary activities in debtor countries; calls on the Member States to use their influence as members of the IMF and the World Bank to push for greater transparency and participatory mechanisms in the negotiation of SAPs and other financing programmes and to foster greater democratic scrutiny of their decisions and accountability; 16. considère que les institutions financières internationales, comme le Fonds monétaire international et le Groupe de la Banque mondiale, devraient évaluer les risques de corruption liés aux mesures proposées aux pays débiteurs dans le cadre des programmes d'ajustement structurel, ainsi que leurs incidences sur les droits de l'homme; considère que les programmes d'ajustement structurel devraient comporter des réformes visant à améliorer la gouvernance et la transparence; insiste sur le fait que des systèmes de su
rveillance adaptés, indépendants et bénéficiant de ressources suffisantes devraient permettre d'ass
urer le su ...[+++]ivi de la mise en œuvre des programmes, au moyen d'inspections et d'audits fréquents; ajoute qu'une attention particulière devrait être accordée à l'accaparement de terres, aux expropriations forcées, aux marchés publics de la défense, aux budgets séparés de la défense et au financement d'activités militaires et paramilitaires dans les pays débiteurs; demande aux États membres d'user de leur influence en tant que membres du FMI et de la Banque mondiale pour renforcer les mécanismes de transparence et de participation lors des négociations de programmes d'ajustement structurel et pour consolider le contrôle démocratique de leurs décisions et de leurs obligations de rendre des comptes;