One of them, Belarus, is a dramatic example of self-isolation, to which we have responded in the past with a policy marked by the ‘too little, too late’ syndrome, both in terms of sanctions and of incentives.
L’un deux, le Belarus, est un exemple dramatique d’auto-isolement, auquel nous avons répondu, par le passé, par une politique caractérisée par le syndrome du «trop peu, trop tard», tant en termes de sanctions qu’en termes d’incitations.