Originally, I took the view that the State should never hand over operation of the railways to private companies, but, provided the infrastructure remains under State ownership, and local, regional and cross-border transport services are transferred to private companies only under very clear conditions, in a socially and environmentally responsible way, I now think that we must accept fair competition.
Initialement, j’étais d’avis que l’État ne devrait jamais confier la direction des chemins de fer au secteur privé mais, pour autant que l’infrastructure demeure la propriété de l’État et que les services de transport locaux, régionaux et transfrontaliers ne soient transférés à des entreprises privées que dans des conditions très clairement définies, de manière responsable sur le plan social et environnemental, je pense aujourd’hui que nous devons accepter une juste concurrence.