When I look today at the kind of powers available to CSIS, without any change, to monitor what the CSIS Act calls activities in support of or directed toward “acts of serious violence.for the purpose of achieving a political objective”, here or elsewhere—and for that, they can engage in electronic bugging, surreptitious searches, mail opening, the secret invasion of confidential records, the targeting of covert informants at people—I would argue that even that is more than is required to deal with the terrorist threat as we know it.
Il me semble qu'étant donné les pouvoirs dont dispose déjà le SCRS, sans aucune modification législative, pour surveiller les activités qui, aux termes de la Loi sur le SCRS, visent à favoriser des actes de «violence grave.dans le but d'atteindre un objectif politique» ici ou ailleurs—à cette fin, le SCRS peut faire de l'écoute électronique, effectuer des fouilles clandestines, ouvrir du courrier, consulter subrepticement des dossiers confidentiels, envoyer des informateurs anonymes pour cibler certaines personnes—je dirais que ces pouvoirs dépassent déjà ce qu'il faut pour faire face à la menace terroriste telle que nous la connaissons.