The Agency concluded that although oily fish contained persistent organic pollutants, principally dioxin and dioxin-like PCBs, data indicated that the most sensitive individuals (women of reproductive age and girls) could consume two portions of oily fish per week in safety.
L'Agence a conclu que si l'huile de poisson contient des polluants organiques persistants, principalement de la dioxine et des PCB de type dioxine, les données indiquent que les individus les plus sensibles (femmes en âge de reproduction et petites filles) pouvaient consommer deux portions de poisson gras par semaine en toute sécurité.