It is not enough to do as we did at ASEM III and discuss all the problems we have in the world, taking in the economy, culture, politics and education, leaving the public to wonder after the event what actually came out of it all. Hence our preference, and our demand, for fewer but definite plans for closer cooperation between Asia and Europe.
Car il n'est pas suffisant, comme lors d'ASEM III, de parler de tous les problèmes existant de par le monde, de l'économie à la culture en passant par la politique et l'éducation, car après, les citoyens demandent : "Et qu'en est-il ressorti ?" D'où notre exigence : mieux vaut un nombre plus restreint de projets concrets pour une collaboration plus étroite entre l'Asie et l'Europe.