The last thing I will say is that in the context of ports of entry, where examinations are carried out, giving a right to counsel during an examination in Canada could create a bit of havoc at our ports of entry. It would result in delays in processing all persons coming in, should they want to have counsel present.
Finalement, je dirais que dans le contexte des points d'entrée, où s'effectuent ces contrôles, le droit à la présence d'un conseil pendant le contrôle au Canada encombrerait les points d'entrée et occasionnerait des retards considérables si toutes les personnes qui se présentent exigent la présence d'un conseiller.