“The use of the word ‘privilege’ to gain the Speaker’s ear and to secure the chance to raise a political issue unrelated to real privilege. is now almost unknown”.
« L’utilisation du mot « privilège » pour attirer l’attention du Président et saisir ainsi l’occasion de soulever une question d’ordre politique qui n’est pas, en réalité une question de privilège [.] est devenue rarissime ».