(3) Where the employer cannot return an employee to work within 21 days after the date of receipt of the certificate referred to in subsection (1), the employer shall, within those 21 days, notify in writing the employee and, where the employee is subject to a collective agreement, the trade union representing the employee, whether return to work is reasonably practicable and, if not, the reasons therefor.
(3) L’employeur qui ne peut pas rappeler un employé au travail dans les 21 jours suivant la date de réception du certificat mentionné au paragraphe (1) doit fournir dans ce délai un avis écrit à l’employé et, si celui-ci est lié par une convention collective, au syndicat le représentant, indiquant s’il lui est possible de rappeler l’employé au travail et, dans le cas contraire, ses motifs.