As the shadow rapporteur for the Socialist Group in the European Parliament, I have always upheld the following points that are raised in the final report: the need to use existing opportunities in terms of European funding or State aid to develop and purchase advanced and environmentally-responsible facilities and to better integrate them into the European port network; the need for
local and regional authorities to make use of the possibilities their ports offer to develop their regions, creating more transport intermodality and competitiveness between ports; the need to improve current social conditi
ons in the ...[+++] class=yellow2> maritime sector, in particular through better training, lifelong learning and better safety conditions in the workplace; the need to enhance the European Union’s competitive position as a global
maritime power, in particular by strengthening regulatory frameworks in the area of
maritime safety and financial incentives, rules to aid public or private investors from various backgrounds; improving the adaptation of existing ports to strict environmental requirements, in particular in terms of reducing greenhouse gases; strengthening the current regulatory framework for ports, as variables determining the global equilibrium; adapting the European port system to extremely rapid technological development without disregarding the environmental impact; accepting that some investments by public authorities may not be seen as State aids, for outermost regions and islands, when they are essential to ensure economic, social and territorial cohesion, as long as they do not benefit a single user or operator, and recognising the specific situation of outermost regions as recognised in the Treaty on European Union.
En tant que rapporteur fictif du groupe socialiste du Parlement européen, j'ai toujours soutenu les points suivants, qui sont abordés par le rapport définitif: la nécessité d'utiliser les opportunités existantes en termes de financement européen et d'aides publiques afin de développer et d'acquérir des infrastructures avancées et écologiquement responsables et de mieux les intégrer au système portuaire européen; la
nécessité, pour les autorités locales et régionales, de tirer profit des possibilités que leur offrent leurs ports pour développer leur région, en suscitant une plus grande intermodalité des transports et la compétition entre
...[+++] les ports; la nécessité d'améliorer les conditions sociales actuelles dans le secteur maritime, en particulier par le biais d'une meilleure formation, d'un apprentissage tout au long de la vie et de meilleures conditions de sécurité sur le lieu du travail; la nécessité d'améliorer la position concurrentielle de l'Union européenne en tant que puissance maritime mondiale, notamment en renforçant les cadres réglementaires dans le domaine de la sécurité maritime et des incitants financiers, des règles pour soutenir les investisseurs publics et privés d'origines différentes; l'amélioration de la conformité des ports existants à des exigences environnementales strictes, notamment en ce qui concerne la réduction des émissions de gaz à effet de serre; le renforcement du cadre réglementaire actuel pour les ports, en tant que variables définissant l'équilibre global; l'adaptation du système portuaire européen à des développements technologiques extrêmement rapides sans négliger l'impact environnemental; la reconnaissance du fait que certains investissements consentis par les autorités publiques ne doivent pas être considérés comme des aides publiques, pour les régions ultrapériphériques et les îles, lorsque ces investissements sont essentiels pour garantir la cohésion économique, sociale et territoriale, pour autant qu'ils ne profitent ...