This shortfall was due to an overestimation of the growth of traffic, which had to be corrected by a reduction in seat-kilometre supply, low seat-occupancy levels (66,5 % in 1992 and 1993 as against the anticipated 67,3 % and 69,1 % respectively) and above all a substantial drop in receipts per passenger-kilometre, which fell in 1992 and 1993 by 9,3 % compared with 1991.
Cette différence par rapport aux prévisions s'explique par une surestimation de l'intensité de la reprise de l'activité, qui a dû être corrigée par une diminution de l'offre en sièges-kilomètres, par la faiblesse des coefficients de remplissage (66,5 en 1992 et 1993 contre 67,3 et 69,1 respectivement envisagés) et surtout par une baisse substantielle de la recette unitaire qui, au cours des années 1992 et 1993, a diminué de 9,3 % par rapport à 1991.