Is it appropriate in electoral reform that when a leader of the opposition or a leader of any party in the House is elected at a party convention that the party then has the moral and legal authority to write a cheque for $50,000 to a sitting member so that person will vacate a safe seat, in the case of the Canadian Alliance, obviously, to allow the leader to run in that seat?
Quand le chef de l'opposition, ou de n'importe quel autre parti à la Chambre, est élu à l'occasion du congrès de son parti, convient-il qu'une réforme électorale accorde à ce parti le pouvoir moral et légal d'établir un chèque au montant de 50 000 $ à l'intention d'un député élu pour que celui-ci libère un siège sûr et, dans le cas de l'Alliance canadienne, pour que le chef puisse briguer ce siège?