The Presidency has never denied the importance of reflection – as you know – but do recognise that we had to concentrate on the difficult issues, and before we could have post-Nice, we had to have Nice. But I do not think we have ever smothered post-Nice, we have been keen to think about it.
La présidence, d'ailleurs, n'a jamais nié - vous le savez - l'intérêt de la réflexion, mais reconnaissez qu'il fallait se concentrer sur les questions difficiles, qu'il fallait Nice, avant l'après-Nice, et je crois que nous n'avons, là-dessus, jamais étouffé le post-Nice, que nous avons voulu le penser.