In the Court's view, that series of three decisions, which were adopted in quick succession (in 1984, 1986 and 1994) and before the implementation of the cartel at issue began in 1995, is evidence of Arkema France's tendency to infringe the competition rules and not to draw the appropriate conclusions from previous penalties.
Selon le Tribunal, cette série de trois décisions, qui ont été adoptées chacune à bref intervalle (en 1984, 1986 et 1994) et avant le début de la mise en œuvre de l’entente en cause en 1995, témoigne de la propension d’Arkema France à s’affranchir des règles de la concurrence et à ne pas tirer les conclusions appropriées de précédentes sanctions.