As regards the divestiture of IFB’s French subsidiaries, the Commission has further verified that, during its withdrawal, IFB always chose the lowest cost option, in order to limit withdrawal costs, and therefore aid, to a minimum.
En ce qui concerne le désinvestissement des filiales d'IFB en France, la Commission a en plus vérifié que, dans son désengagement, IFB a toujours choisi l'option la moins chère, afin de limiter les coûts de désengagement, et donc l'aide, au minimum.