In fact, the proposal identifies only five elements to be safeguarded: the right to advice and representation, the right to interpretation/translation, the protection of vulnerable suspects, consular assistance and the Letter of Rights, leaving all other elements to be dealt with in future initiatives.
En réalité, la proposition définit cinq points à protéger: l'accès à l'assistance d'un avocat, l'accès gratuit aux services d'un interprète et d'un traducteur, la protection des personnes incapables de comprendre et de suivre la procédure, le droit de communiquer avec les autorités consulaires et l'information des suspects au sujet de leurs droits, s'en remettant, sur tous les autres points, à des initiatives futures.