The German authorities argue that, unlike the measures in DMT and HAMSA, §8c(1a) KStG does not provide for discretionary decisions by public bodies, but that its application flows automatically from the law. Therefore, applying the a contrario argument, §8c(1a) KStG is not selective.
L’Allemagne argue qu’à l’inverse des dispositions en cause dans les affaires DMT et HAMSA, l’article 8c, paragraphe 1a, de la KStG ne prévoit aucun pouvoir discrétionnaire des services publics; l’application de la mesure découlant directement de la loi, elle en déduit, a contrario, que l’article 8c, paragraphe 1a, de la KStG n’est pas sélectif.