If you add to this factor social security costs, which have gone from 6 per cent of GDP to 10 per cent over the past few decades, with the result that instead of absorbing 15 per cent of GDP social policies are now absorbing 23 per cent, or $210 billion, it seems sufficiently obvious to me that reform is necessary — if governments have the courage to allow private capital and competition into the system, in the form of public insurance schemes.
Si on ajoute à ce facteur les coûts de la sécurité sociale, qui sont passés de 6 à 10 p. 100 du PIB en quelques décennies, avec ce résultat qu'au lieu d'absorber 15 p. 100 du PIB, on en est maintenant à 23 p. 100, soit 210 milliards dollars pour les politiques sociales, il m'apparaît assez évident qu'une réforme s'impose, si les gouvernements en ont le courage, de façon à introduire du capital privé et de la concurrence dans ces systèmes, c'est-à-dire les régimes d'assurance publique.