The same goes for EU (based) companies that enter into contractual relations with third country governments, whether to win operating licenses, negotiate standstill clauses or by accepting public involvement in business operations or public use of their networks and services, and which could force these businesses becoming complicit in human rights violations.
Cela vaut aussi pour les entreprises établies dans l'UE qui nouent des relations contractuelles avec les gouvernements de pays tiers, que ce soit pour obtenir des licences d'exploitation ou pour négocier des clauses de "standstill", ou en acceptant que le secteur public participe à des opérations commerciales ou utilise leurs réseaux et services, et qui pourraient contraindre ces entreprises à se rendre complices de violations des droits de l'homme.